Sous un ciel printanier, la roulotte quitte le Haras et s'invite dans les ruelles lamballaises.


Parce que l'appellation " Vieille maison de Lamballe" donnée par un photographe au 20ème siècle ne remportait aucun succés de diffusion...
Une halte s'impose devant l'église Saint-Martin, puis la place du marché.
Un seul regard vers le ciel et apparaissent sur les toits des maisons la curiosité lamballaise : des épis de faîtage. La forme autant que la réprésentation varie d'une maison à l'autre. Ici, le cheval trône et observe le mouvement de la place du marché et sa belle demeure : la maison dite "du bourreau" (fin 14ème début 15ème) , aujourd'hui Musée Mathurin Méheut.
Pourquoi ce nom ?
Pourquoi ce nom ?
Parce que l'appellation " Vieille maison de Lamballe" donnée par un photographe au 20ème siècle ne remportait aucun succés de diffusion...
Vers 11h00, la roulotte a pris la direction du château de la Hunaudaye sans s'attendre à plusieurs rencontres insolites...
Une parcarte plantée devant un pont nous encourageait à faire une "halte", ce que nous avons fait...
Dans une ancienne abbaye, aujourd'hui en ruines, Charles Hamm - rencontré quelques jours plus tôt-, nous attendait pour nous offrir un sympathique rafraîchissement. Plusieurs objets insolites ont attisé la curiosité de l'équipage...
Il faut de tout pour faire un monde, et comprendre combien ce monde devient un véritable théâtre dès lors que nous quittons les chemins saturés de panneaux identiques. Panneaux identiques voués à corrompre la force de notre imaginaire, le rêve... et l'esprit d'aventure qui sommeille en nous...
Voiture sur trois roues et volant à droite ! plus étonnant : engin autorisé sur les autoroutes !
18h00 : Arrivée au château de la Hunaudaye.
20h00 : Arrivée de Frédéric, journaliste à l'Hebdomadaire d'Armor... échange prolongé dans la roulotte en compagnie de Charles Hamm, sur la notion de voyage et ceci jusqu'à ce que les bougies s'éteignent : 23h00 !
Nous avons quitté le haras de Lamballe aujourd'hui après une immersion dans le monde équestre, et si les sabots de Quidam continuent de battre le bitume, cela ne nous empêche pas de garder un regard derrière nous... le passé ne faisant qu'accompagner le mouvement légitime du monde... en avant toute !
Ce message s'adresse à Guillaume Blanc, la fin de semaine approche et son retour probable auprès des siens, de sa femme Karine, de ses enfants et d'un site - le Haras - peuplé de son silence... Personnellement Guillaume, je vous souhaite de prendre le temps d'aller mieux, au rythme du corps... et avec l'espoir - sincère - que nos chemins se rencontrent prochainement...
Mille Sabots ?